- Introduction à la névralgie d’Arnold
- Symptomatologie et examens concernant la névralgie d’Arnold
- En ce qui concerne la névralgie d’Arnold, les causes (ou étiologies) sont multiples.
- Ça y est, après toutes ces pérégrinations, on arrive enfin au traitement de la névralgie d’Arnold.
- J’espère que j’aurais pu répondre à vos questions concernant la Névralgie d’Arnold.

Introduction à la névralgie d’Arnold
Névralgie
La NEVRALGIE D’ARNOLD est un sujet passionnant, assez fréquent sommes toutes, mais pas vraiment connu ou reconnu par vous, le grand public. Comme son nom l’indique, il s’agit d’une névralgie.
Mais c’est quoi une névralgie ? Ce mot névralgie provient du grec ancien. Il est composé du préfixe névro qui veut dire “nerf” et du suffixe algie qui veut dire “douleur”. Une névralgie est donc littéralement une douleur d’un nerf.
Sur le plan des symptômes, une névralgie est une douleur se situant sur le trajet d’un nerf sensitif ou dans la région qu’il innerve. Les douleurs se manifestent de façon aiguë ou de façon plus prolongée et diffuse. Il existe plusieurs origines à ces névralgies : traumatismes, anomalies anatomiques, compressions, infections, inflammations…
Voici un article très bien réalisé expliquant le fonctionnement du système nerveux.
Nerf d’Arnold

Pour en revenir à notre NEVRALGIE D’ARNOLD, pourquoi Arnold ? La névralgie d’Arnold concerne le nerf grand occipital. Son nom latin est “nervus occipitalis major “. C’est sûr que cette précision linguistique est franchement capitale pour vous ! Ce nerf grand occipital est appelé aussi “nerf d’Arnold”.
En effet, il appartient à Mr Arnold. Pas vraiment, mais comme vous devez le supposer, ce nerf a été découvert par une certaine personne qui s’appelait … Frédéric Arnold.
Le Dr Arnold était professeur émérite d’anatomie et de physiologie à la faculté d’Heidelberg en Allemagne au 19éme siècle.
Le nerf grand occipital (nerf d’Arnold), est la branche cutanée postérieure provenant du deuxième nerf rachidien, C2. Ce nerf innerve sur le plan moteur certains muscles de la nuque. Il innerve également sur le plan sensitif le cuir chevelu dans sa partie postérieure.
Son irritation provoque la NEVRALGIE D’ARNOLD, que nous allons développer par la suite… on y arrive bientôt !
Anatomie du nerf
Trajet du nerf
Pour comprendre la NEVRALGIE D’ARNOLD, il faut comprendre un minimum l’anatomie de ce nerf.
Le nerf grand occipital, ou nerf d’Arnold comme nous l’avons déjà vu, est un nerf mixte, c’est à dire sensitivo-moteur. En terme clair, cela veut dire qu’il possède des fibres sensitives et des fibres motrices. Il présente une majorité de fibres sensitives.
Son origine provient du nerf cervical spinal C2. C’est un nerf rachidien, ou plus souvent appelé nerf spinal. Il prend naissance entre la première vertèbre cervicale (Atlas ou C1) et la deuxième vertèbre cervicale (axis ou C2) au travers du foramen C1-C2.
Ensuite, il se divise en plusieurs parties. Une partie se dirige vers certains muscles de la nuque. Une autre partie se dirige vers la superficie de la tête, dans sa partie occipitale. C’est une description assez simplifiée, mais vous n’êtes pas étudiant en médecine, donc je vais vous épargner la description anatomique précise des nerfs de cette région.
Honnêtement, c’est vraiment très complexe et cela n’éclairera pas vos lanternes pour autant.
Au niveau de la face postérieure de la tête (que l’on appelle aussi la région occipitale, du nom de l’os du crane présent à cet endroit), le nerf d’Arnold chemine dans le tissu cellulo-adipeux sous-cutané. Je sais, je sais, j’aime bien vous embrouiller un peu. J’avais dit que je resterai simple, mais je n’ai pas pu m’en empêcher !
Ce tissu graisseux, aussi appelé pannicule adipeux, est composé par un ensemble de cellules où s’accumule de la graisse sous la forme de lobules (petites formes arrondies contenant de la graisse dans le cas présent).
Au niveau de la région occipitale, ce panicule adipeux est pris en sandwich entre la peau au-dessus, et l’aponévrose épicrânienne (appelée également galéa).
La galéa est une lame souple, de nature fibreuse, recouvrant la partie osseuse du crâne.
Rôles du nerf grand occipital
Après avoir expliqué où se trouvait ce nerf d’Arnold, pour bien comprendre la NEVRALGIE D’ARNOLD, il est également intéressant d’en connaitre les fonctions.
Rôle moteur
Le nerf grand occipital assure le fonctionnement de trois muscles de la nuque :
- le splénius capitis,
- le longissimus capitis
- et le trapèze.
- certains rajoutent aussi le muscle subscapulaire.
Donc, c’est en partie grâce à ce nerf d’Arnold que vous pouvez bouger votre nuque et votre tête. En partie seulement, car il y a bien d’autres muscles, innervés par d’autres nerfs. Je vous ais dis que c’était compliqué.
Rôle sensitif
Le nerf d’Arnold innerve le cuir chevelu et les téguments de la partie postérieure de la tête (région occipitale).
Les téguments chez l’homme, désignent la peau et ses annexes que sont les poils, les cheveux et les ongles (c’est ce que l’on appelle également les phanères).
Ici, seuls les cheveux seront concernés. Même chez les chauves, car les cheveux conservent toujours une place dans la région occipitale (ils font de la résistance). Le cuir chevelu correspond à la partie de la peau du crâne contenant des cheveux.
Anastomoses
Il existe également des anastomoses avec le nerf spinal C1 au-dessus, et avec le nerf spinal C3 au-dessous.
Là, on va rester très simple, car je ne veux pas que vous frisiez l’infarctus ! Une anastomose veut dire dans le cas présent qu’il existe des communications entre plusieurs nerfs.
Ce terme est également utilisé pour les vaisseaux sanguins. Dans le cas de la NEVRALGIE D’ARNOLD, c’est important de connaitre l’existence de ces anastomoses, car du coup, la localisation des douleurs ne correspondra pas toujours au trajet proprement dit du nerf d’Arnold, mais sera ailleurs ou étendu dans une zone plus vaste.
Symptomatologie et examens concernant la névralgie d’Arnold
Après l’explication un peu fastidieuse de ce qu’est le nerf d’Arnold, il faut maintenant qu’on avance et qu’on parle de la maladie proprement dite qu’est la NEVRALGIE D’ARNOLD.

Introduction
La névralgie d’Arnold se manifeste par des douleurs suivant le trajet du nerf d’Arnold, c’est à dire partant du haut de la nuque et allant vers la partie postérieure de la tête (céphalées occipitales), avec parfois des irradiations vers l’oreille, et même vers l’œil.
Ces douleurs sont des céphalées chroniques par crises successives avec des périodes de calme.
Petite parenthèse, le terme céphalée veut dire tout simplement “mal de tête”. Dès que l’on a mal à la tête, que ce soit dans le crâne, au niveau du visage, à l’intérieur de la tête, et même au niveau de la base du cou juste sous le crâne, on parle de céphalées.
Symptômes de la névralgie d’Arnold

Caractéristiques
La névralgie d’Arnold se manifeste par des céphalées paroxystiques en éclairs.
On ressent une douleur ressemblant à une décharge électrique ou alors ressemblant à une brulure. C’est caractéristique des douleurs dites “névralgiques”, c’est à dire concernant une atteinte d’un nerf.
Petite précision sur le terme “paroxystique”. C’est un terme affectionné par les médecins. On l’utilise souvent. Mais ça veut dire quoi me direz-vous ?
En présence d’une maladie chronique, le paroxysme est le moment où la maladie se manifeste le plus intensément ou le plus violemment.
Par exemple, quand on a une douleur permanente, mais modérée, il peut arriver que tout d’un coup, elle augmente très fortement. On parlera alors d’un accès douloureux paroxystique.
Cette douleur est soit intermittente, soit continue. Il existe donc des formes avec un fond douloureux persistant, plus ou moins intense.
La douleur de la névralgie d’Arnold est très intense. Elle suit le trajet du nerf grand occipital, qui je vous le rappelle s’appelle aussi le nerf d’Arnold (mais ça, ce sont des révisons, j’espère que vous vous en souveniez … sinon je rends mon tablier).
Pour finir, cette douleur peut soit arriver spontanément, soit être déclenchée par des mouvements de la tête, ou une pression au niveau de l’émergence du nerf d’Arnold au niveau des vertèbres cervicales (c’est ce qu’on appelle par un autre anglicisme la “trigger zone”). Une fois présente, les mouvements de rotation de la tête aggravent ces douleurs.
Localisations de la névralgie d’Arnold
Cette douleur est unilatérale, c’est à dire qu’elle n’est que d’un côté. En effet, généralement, un seul nerf d’Arnold est atteint. Je ne vous l’avais pas dit, mais il y en a deux, à droite et à gauche. C’était évident …pour moi, mais ça, c’est un des travers des médecins, on a l’impression que vous les patients, les évidences pour nous sont également les vôtres. En bien non, ce n’est pas le cas !
C’est donc une douleur unilatérale, concernant une moitié de la partie du crane (hémicrâne postérieur), débutant d’un point précis (souvent à la base du coup ou partie supérieure de la nuque) et allant jusqu’au vertex (qui est comme vous le savez la partie supérieure du crane).
Ce trajet correspond au trajet anatomique du nerf d’Arnold. Mais j’ai évoqué l’existence des anastomoses entre plusieurs nerfs. Par conséquent, les douleurs peuvent aussi se localiser ailleurs, comme par exemple au niveau de l’oreille et au niveau de l’œil. Ce dernier peut même dans certains cas être le point de départ d’une névralgie d’Arnold.
Pour finir, certains auteurs constatent de possibles connexions sensitives entre le nerf grand occipital et le nerf trigéminal, d’où des douleurs pouvant se situer derrière l’œil et au niveau de la face.
L’examen clinique est relativement simple concernant la névralgie d’Arnold.
En effet, à partir du moment où l’on a bien assimilé l’anatomie du nerf d’Arnold, il est facile de comprendre la symptomatologie.
Et sur le plan clinique, on pourra retrouver les zones douloureuses, et le plus souvent reproduire la douleur en appuyant au niveau de l’émergence du nerf d’Arnold au niveau du foramen entre la première et la deuxième vertèbre cervicale.
Si la pression de cette zone déclenche la douleur, cela sera très évocateur d’une névralgie d’Arnold. On parlera alors d’une “zone gâchette” ou alors, si vous êtes un anglophone invétéré, on parlera de “trigger zone”.
Parfois, le fait de faire une flexion de la tête vers l’avant peut provoquer la douleur.
Possibilité également d’avoir une raideur de nuque, et de pouvoir retrouver à l’examen des contractures musculaires.
L’examen clinique permettra aussi de faire un diagnostic par exclusion. On entend par là qu’on va éliminer d’autres maladies qui pourraient ressembler à notre névralgie (migraine, céphalées de tension, traumatisme cervical avec coup du lapin par exemple, autres névralgies …).
Examens paracliniques

Généralement, le diagnostic de la névralgie d’Arnold est essentiellement clinique.
Mais on peut être amené à réaliser des examens radiologiques afin de mieux préciser les causes provoquant cette névralgie.
Il s’agira de :
- Radiographies du rachis cervical de face et de profil et avec un cliché bouche ouverte. Votre médecin vous a déjà peut-être prescrit une radio avec la bouche ouverte. C’est plutôt original comme prescription pensez-vous, mais en fait, c’est à cause d’une raison bien précise. C’est la seule façon pour bien visualiser en détail les deux premières vertèbres cervicales et de ne pas être gêné par les dents.
- Un scanner du rachis cervical.
- Une IRM du rachis cervical. C’est l’examen de référence dans le cas de la NEVRALGIE D’ARNOLD. La région anatomique étant fort complexe, c’est l’examen le plus précis pour détailler les éventuelles lésions.
Etiologies
Je vous rappelle, si je ne l’ai pas déjà fait, que l’étiologie est un terme médical, très fréquemment utilisé et qui veut dire “étude des causes des maladies”.
En ce qui concerne la névralgie d’Arnold, les causes (ou étiologies) sont multiples.
Il peut s’agir de pathologies comprimant le nerf d’Arnold, soit à son émergences, soit le long de son trajet.
Il peut s’agir de pathologies provoquant une inflammation du nerf. Et malheureusement, cette névralgie est souvent idiopathique.
Encore un terme bizarre. Idiopathique ne veut pas dire que c’est une maladie idiote (quoique que). En fait, cela veut dire que pour cette maladie, qui évolue pour son propre compte, on n’en connait pas la cause et les origines.
Pour rester humble, quand un médecin utilise le mot “idiopathique”, c’est qu’il est un peu dans le brouillard, il ne sait pas… Donc méfiez-vous du terme « idiopathique », il est souvent ingrat (pour vous et pour le médecin).
Quelles sont les principales étiologies de la névralgie d’Arnold :
- L’arthrose bien évidemment. Ce qu’on appelle aussi poétiquement les lésions dégénératives. Cela concerne plutôt les sujets âgés, mais ça, vous le saviez !
- Une contracture musculaire.
- Des tumeurs vertébrales (neurinomes).
- Des maladies inflammatoires comme par exemple la polyarthrite rhumatoïde.
- Les lésions traumatiques ou non, concernant la partie supérieure du rachis cervical (comme par exemple le coup du lapin).
- La syringomyélie (anomalies de la moelle épinière).
- Une anomalie congénitale de la charnière crânio-vertébrale.
- Toutes les agressions de la base du crâne (traumatismes, lésions, chirurgie…).
- Une hernie discale.
- Une excroissance osseuse.
- Des traumatismes souvent répétés au niveau de la région cervicale (souvent liés au travail).
- Une adénopathie comprimant le nerf d’Arnold.
- … et les formes IDIOPATHIQUES : les plus fréquentes, ce que je vous confirme. En effet, à part l’arthrose, je n’ai jamais vraiment rencontré toutes les étiologues citées au-dessus (à part peut-être les contractures musculaires et les traumatismes répétés à cause du travail).
Ça y est, après toutes ces pérégrinations, on arrive enfin au traitement de la névralgie d’Arnold.
Le traitement de la névralgie d’Arnold se décompose en traitement médical et en traitement chirurgical (comprenant la radiologie interventionnelle qui est à la frontière entre la médecine et la chirurgie).
Traitement médical
Les médicaments
On va utiliser plusieurs types de médicaments pour soigner ou soulager la NEVRALGIE D’ARNOLD :
- Les antalgiques des plus simples comme le paracétamol, aux plus forts comme les opioïdes suivant l’intensité de la douleur.
- Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS), avec parfois une bonne efficacité.
- Les corticoïdes. Bons résultats parfois.
- En cas de douleurs rebelles, et n’ayant pas vraiment de solutions thérapeutiques, on peut utiliser d’autres classes de médicaments. Dans ce cas-là, on ne traitera pas les causes de la maladie, mais uniquement le symptôme “douleur”. On utilisera des antiépileptiques, des antispasmodiques, des neuroleptiques, des antidépresseurs … Ces traitements seront souvent prescrits par un algologue, c’est à dire un spécialiste des douleurs chroniques et rebelles.
- Le repos n’est pas un médicament au sens propre du terme, mais c’est un traitement souvent préconisé. Et quelque part, on est dans le bon sens !
- Un collier cervical. Cela peut parfois soulager un peu, surtout en cas de traumatisme cervical. Mais dans tous les cas, à ne pas garder longtemps.
La rééducation peut être prescrite en cas de névralgie d’Arnold

L’efficacité ne sera pas toujours au rendez-vous. Une chose est sûre, c’est qu’il faut s’adresser à un professionnel très compétent car la rééducation du rachis cervical est une chose délicate et compliquée.
Et dans tous les cas, veillez à ce que les gestes et manipulations effectuées soit très doux et non douloureux.
Autres méthodes
Dans le cas de la Névralgie d’Arnold, on peut réaliser de la mésothérapie.
Cela consiste à faire réaliser par un médecin des petites piqures de produits antalgiques dans le derme et l’épiderme.
On peut aussi essayer d’aller voir un ostéopathe. Pourquoi pas, car il peut y avoir de bons résultats.
Par contre, il faut faire très attention quant au choix de son ostéopathe.
En effet, ce n’est pas une spécialité médicale ou paramédicale reconnue par les autorités sanitaires. Certains ostéopathes sont des médecins, d’autres sont des kinésithérapeutes et beaucoup sont issus d’écoles d’ostéopathie. Certaines écoles ont une formation qui dure de quelques semaines à quelques mois, d’autre vont durer 6 ans. Donc on voit de tout dans cette profession. Renseignez-vous bien avant de voir un ostéopathe, et petit conseil en passant, un vrai et bon ostéopathe ne fera que des gestes dans la douceur et ne vous fera jamais mal.
Traitement radiologique et chirurgical
Infiltrations
Les infiltrations réalisées dans le cadre de la névralgie d’Arnold seront de deux ordres :
Infiltrations diagnostiques
On va infiltrer dans ce cas-là de la Xylocaïne qui est un produit anesthésiant local. On l’injecte en se guidant à l’aide d’un scanner pour piquer au bon endroit et l’on voit si le produit injecté a une action positive sur la névralgie.
Infiltrations thérapeutiques
On injecte dans ce cas-là de la cortisone, qui a un rôle anti-inflammatoire puissant, d’autant plus que le produit est injecté au contact du mal.
Il est également possible de piquer à plusieurs endroits en s’aidant de la scopie (radiographie faite pendant l’infiltration), mais on ne va pas rentrer dans les détails.
On peut aussi parfois s’aider du scanner. Les infiltrations sont souvent efficaces, mais parfois malheureusement que de façons transitoires.
Chirurgie
La chirurgie est réservée à des cas bien particuliers. C’est le cas quand la névralgie d’Arnold est liée à une hernie discale, une tumeur, une compression par un muscle, une anomalie congénitale… et dans les cas de névralgies rebelles pour lesquelles aucun traitement ne marche.
Les opérations vont consister en des arthrodèses, des neurolyses chimiques ou physiques et des neurotomies. Pour une fois, je ne rentre pas dans les détails, car cela serait beaucoup trop long et de plus, la chirurgie reste rare, bien heureusement.
Je n’ai jamais eu aucun patient opéré d’une névralgie d’Arnold, par contre, j’ai vu plusieurs patients qui ont bénéficié d’une infiltration.
J’espère que j’aurais pu répondre à vos questions concernant la Névralgie d’Arnold.
C’est donc une maladie loin d’être rare, franchement assez méconnue, mais qui est finalement assez simple à comprendre une fois que l’on a assimilé son anatomie.
Dans la plupart des cas, on arrive à soulager les patients de manière efficace.
Et dernier petit point, quels sont les médecins qui vont s’occuper de cette pathologie ?
Le premier sur le front sera votre médecin généraliste. Il pourra régler assez souvent lui-même le problème. Si il n’y arrive pas, il devra se faire aider par des médecins spécialistes. Ces médecins seront des neurologues, des rhumatologues, des médecins rééducateur, des radiologues, des neurochirurgiens, certains orthopédistes spécialistes du rachis, des algologues.
Article écrit le 8 mars 2022 par Docteur santé
AVERTISSEMENT
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Content que l’article vous ait rendu service, et bon courage à vous.
Merci pour ces informations claires et compréhensibles qui me permettront d’approfondir mon parcours de soins avec mon généraliste (premier médecin a diagnostiquer les céphalées fulgurantes que j’avais de la difficulté à décrire), parcours suivi par ma kiné, j’ai. la chance qu’elle soit compétente en neurologie… J’ai des tendinites chroniques sur mon côté gauche, conséquence d’une hémiplégie infantile sur le côté droit, depuis l’âge de 18 mois, et j’ai 65 ans !… Je vais être. hospitalisée du 13/02 au 3/03 en Médecine physique et réadaptation au CHU de Montpellier… Vos explications sont donc précieuses à ce moment de ma vie, pour tirer le meilleur parti des soins que je vais recevoir… Merci encore ! Cordialement, Simone M